Le 18 juillet 2017, des militantes et des militants du mouvement pour des services de garde à l’enfance de tout le pays se sont réunis à Ottawa et se sont penché sur les problèmes politiques actuels qui empêchent les familles d’avoir accès à prix abordable à des services éducatifs et de garde à l’enfance de qualité et inclusifs.
« Nous travaillons ensemble afin de convaincre les gouvernements de mettre en œuvre notre cadre commun pour bâtir un système inclusif d’éducation préscolaire et de garde à l’enfance », a dit Morna Ballantyne, directrice générale de l’Association canadienne pour la promotion des services de garde l’enfance
Des représentantes et des représentants de plus de 35 organismes locaux, provinciaux et nationaux ont pris part à la rencontre pour déterminer des façons de promouvoir une vision collective des services de garde au Canada.
« Les participantes et participants sont tous repartis déterminés à maintenir la pression afin d’obtenir mieux et plus, y compris en ce qui a trait aux questions liées à la main-d’œuvre des services de garde », a dit Don Giesbrecht, PDG de la Fédération canadienne des services de garde à l’enfance.
Cette rencontre nationale avait été convoquée dans la foulée de la publication en juin 2017 par le gouvernement fédéral de l’entente multilatérale en matière de services de garde qui orientera les dépenses fédérales dans le domaine au cours des onze prochaines années. Des ententes bilatérales entre le gouvernement fédéral et chaque province et territoire confirmeront la distribution des fonds et ce sur quoi l’argent sera dépensé.
Les militantes et militants du mouvement ont dressé des plans en vue de surveiller et d’influencer les résultats des négociations bilatérales à venir et de continuer à faire pression sur les deux ordres de gouvernement pour obtenir une véritable réforme du système et de réelles améliorations.
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