DIFFUSION IMMÉDIATE : Réponse de l’ACPSGE à la mise à jour économique du 24 octobre 2017 du ministre fédéral des Finances

Les familles ont besoin de plus qu’une allocation pour enfants.

OTTAWA  –  24 octobre 2017

Pour tirer le maximum de l’augmentation annoncée aujourd’hui de l’Allocation canadienne pour enfants, le gouvernement fédéral doit également améliorer substantiellement sa politique en matière de services de garde, affirme l’Association canadienne pour la promotion des services de garde à l’enfance (ACPSGE)

En réaction à l’annonce d’aujourd’hui, l’ACPSGE exhorte le gouvernement fédéral à ne pas mettre dans un seul et même panier toutes ses dépenses destinées aux enfants.

“Bien sûr, certaines familles bénéficieront des améliorations de l’Allocation canadienne pour enfants, mais ces améliorations ne sauraient se substituer à des services de garde de qualité. L’accès à des services de garde est essentiel pour réduire la pauvreté, accroître la sécurité économique des familles de la classe moyenne, favoriser l’égalité des femmes et renforcer la productivité canadienne”, a dit Morna Ballantyne, directrice générale de l’ACPSGE.

“Toutes les données démontrent que les paiements en espèces aux parents n’améliorent pas l’accès aux services de garde et ne règlent pas la crise en matière de services de garde qui fait courir un risque aux enfants et aux familles et qui nuit à la croissance économique du pays.  La seule façon dont les gouvernements peuvent atteindre ces objectifs est de créer un nombre suffisant de places de qualité et d’en financer le fonctionnement, a ajouté Madame Ballantyne.

Nous sommes très déçus que le plan du ministre Morneau pour dépenser les recettes additionnelles générées par un meilleur rendement économique que prévu ne contienne rien de plus pour bâtir le système de services de garde à l’enfance de qualité dont a besoin le Canada”, a dit Madame Ballantyne.

L’Association canadienne pour la promotion des services de garde l’enfance soutient depuis longtemps que les familles au Canada ont des besoins variés qui comprennent un revenu suffisant, de bons emplois et du temps à passer en famille. En plus d’une allocation pour enfants bien conçue, l’organisme réclame un ensemble de programmes, notamment des services de garde de bonne qualité universellement accessibles, un régime équitable de congés parentaux et une  gamme de politiques familiales.

En se fondant sur des données probantes tirées de comparaisons internationales et sur des recherches en matière de politique réalisées par des organismes comme le Fonds monétaire international, UNICEF et l’Organisation de coopération et de développement économiques, le mouvement canadien pour des services de garde a exhorté le gouvernement fédéral à augmenter ses investissements dans l’apprentissage et la garde des jeunes enfants à 1 milliard de dollars en 2018 et à ajouter un autre milliard de dollars à chaque exercice financier subséquent jusqu’à ce que les dépenses du Canada atteignent la norme minimale internationale de 1 pour cent du PIB en dollars actuels.

Renseignements:

Morna Ballantyne, directrice générale, 613-791-3411, ed@ccaac.ca

L’Association canadienne pour la promotion des services de garde l’enfance, un organisme formé de membres, milite pour l’amélioration des politiques en matière de services éducatifs et de garde à l’enfance au Canada.

OTTAWA  –  24 octobre 2017

Pour tirer le maximum de l’augmentation annoncée aujourd’hui de l’Allocation canadienne pour enfants, le gouvernement fédéral doit également améliorer substantiellement sa politique en matière de services de garde, affirme l’Association canadienne pour la promotion des services de garde à l’enfance (ACPSGE)

En réaction à l’annonce d’aujourd’hui, l’ACPSGE exhorte le gouvernement fédéral à ne pas mettre dans un seul et même panier toutes ses dépenses destinées aux enfants.

“Bien sûr, certaines familles bénéficieront des améliorations de l’Allocation canadienne pour enfants, mais ces améliorations ne sauraient se substituer à des services de garde de qualité. L’accès à des services de garde est essentiel pour réduire la pauvreté, accroître la sécurité économique des familles de la classe moyenne, favoriser l’égalité des femmes et renforcer la productivité canadienne”, a dit Morna Ballantyne, directrice générale de l’ACPSGE.

“Toutes les données démontrent que les paiements en espèces aux parents n’améliorent pas l’accès aux services de garde et ne règlent pas la crise en matière de services de garde qui fait courir un risque aux enfants et aux familles et qui nuit à la croissance économique du pays.  La seule façon dont les gouvernements peuvent atteindre ces objectifs est de créer un nombre suffisant de places de qualité et d’en financer le fonctionnement, a ajouté Madame Ballantyne.

Nous sommes très déçus que le plan du ministre Morneau pour dépenser les recettes additionnelles générées par un meilleur rendement économique que prévu ne contienne rien de plus pour bâtir le système de services de garde à l’enfance de qualité dont a besoin le Canada”, a dit Madame Ballantyne.

L’Association canadienne pour la promotion des services de garde l’enfance soutient depuis longtemps que les familles au Canada ont des besoins variés qui comprennent un revenu suffisant, de bons emplois et du temps à passer en famille. En plus d’une allocation pour enfants bien conçue, l’organisme réclame un ensemble de programmes, notamment des services de garde de bonne qualité universellement accessibles, un régime équitable de congés parentaux et une  gamme de politiques familiales.

En se fondant sur des données probantes tirées de comparaisons internationales et sur des recherches en matière de politique réalisées par des organismes comme le Fonds monétaire international, UNICEF et l’Organisation de coopération et de développement économiques, le mouvement canadien pour des services de garde a exhorté le gouvernement fédéral à augmenter ses investissements dans l’apprentissage et la garde des jeunes enfants à 1 milliard de dollars en 2018 et à ajouter un autre milliard de dollars à chaque exercice financier subséquent jusqu’à ce que les dépenses du Canada atteignent la norme minimale internationale de 1 pour cent du PIB en dollars actuels.

Renseignements:

Morna Ballantyne, directrice générale, 613-791-3411, ed@ccaac.ca

L’Association canadienne pour la promotion des services de garde l’enfance, un organisme formé de membres, milite pour l’amélioration des politiques en matière de services éducatifs et de garde à l’enfance au Canada.

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